… une alternative agréable à la clope, pour tout ceux qui ont arrêté de fumer :
Grâce à Rom, qui met à la disposition des internautes le scan du « Tarot du Bicentenaire Camoin » (C’est du moins le nom que Rom lui donne. Cherchez bien: on ne les trouve nulle part ailleurs, que je sache… Où a-t-il déniché cette édition que personne ne connait? Mystère et boules de gomme) , bref, avec cette magnifique édition, on a enfin des cartouches pour travailler !
Prochainement, pour se mettre en bouche, un petit regard sur le cartouche de LA JUSTICE
suivi de près d’un décrochage (si j’ose dire…) vers LE °PENDU.
Je reproduis un commentaire sur ces cartouches (et sur ce Tarot du Bicentenaire) d’un spécialiste reconnu des Tarots historiques : Charly Alverda :
Bonjour Jérôme
Il n’y a rien de mystérieux à ce terme : “tarot du Bicentenaire” . Il a été édité dans les années 60 par M. Camoin pour le bicentenaire de la maison. Il doit en rester quelques preuves sur le site Traditions et Tarots où je sévis, à l’article N. Conver.
Ce tarot n’est vraiment pas une réussite […] [Mr Camoin] l’avait édité non pas traditionnellement, mais avec les procédés modernes d’où la perte de définition et surtout l’inversion de couleurs.
Bien à toi
Charly
15 mars 2009 à 4:22
[…] ami Jérome se donne bien du mal sur son blogue. Il a scanné tous les cartouches des Arcanes majeurs du Tarot de Marseille de Nicolas Conver […]
11 avril 2009 à 8:46
[…] un regard sur différents types d’écriture (un de mes dadas ), tout particulièrement celles que l’on trouve dans les cartes elles-mêmes, dans les “cartouches“, […]
27 avril 2009 à 9:25
Bonjour Jérôme
Il n’y a rien de mystérieux à ce terme : « tarot du Bicentenaire » ? Il a été édité dans les années 60 par M. Camoin pour le bicentenaire de la maison. Il doit en rester quelques preuves sur le site Traditions et Tarots où je sévis, à l’article N. Conver.
(ici je me permets de couper une ou 2 phrases + personnelles du commentaire de Charly Alverda. J.C )
Ce tarot n’est vraiment pas une réussite […] Mr Camoin l’avait édité non pas traditionnellement, mais avec les procédés modernes d’où la perte de définition et surtout l’inversion de couleurs.
Bien à toi
Charly